Les documents décrivent les obligations réciproques entre les communes et les associations, soulignant le cadre légal des subventions, qui sont facultatives et doivent servir l'intérêt général, tout en exigeant de la transparence de la part des associations. Ils abordent également les risques juridiques pour les élus, tels que les conflits d'intérêts et la prise illégale d'intérêt, ainsi que la nécessité de se "déporter" dans certaines situations. Enfin, les sources détaillent les réglementations spécifiques concernant la mise à disposition des locaux communaux, les débits de boissons temporaires, les brocantes, et les lotos, insistant sur l'importance de cadrer ces relations pour éviter les dérives et les requalifications.